HUMOUR, (by Gérard FRANCO, tous Droits réservés)

- A prendre, surtout, avec dérision, au second degé, au nom de notre sacro-Sainte liberté d'expression Républicaine, qui m'est si chère !

Artiste complet, si peu vu, sur le petit écran, (Trop grosse tête ?...) pas même passé, aux : "Gérards de la télé !" - Quel gâchis, quel dommage !...

SONNET POUR UN ARTISTE

 

Chaleureux, passionné sincère et agréable

Charmant et attachant c'est ça, Gérard FRANCO

Et, pour ses créations moi, je lui dis : - "Bravo !"

Ainsi, tout ce qu'il fait je le trouve admirable !

 

Doué pour la musique et d'un réel talent

Comme on peut être grand et plein de modestie,

Des doigts inexploités toute une vie durant

A leur juste valeur et que chacun envie.

 

Il puise au fond des deux l'Esprit et l'alphabet

Les mots, les mélodies dont il a le secret

Faites appel à lui si vous aimez la fête.

 

Vous serez assurés d'avoir fait le bon choix

Car, des heures durant il fait tourner la tête,

Gérard, ce bon vivant ne vous décevra pas !

 

Julien PALACIO, le 05.06.2009

Clichés de Michel DECAIX, fans Lyonnais, avec Annick.

CITATIONS - PENSEES PROFONDES :

              - J'ai une très haute opinion de l'espère humaine, au point de défendre :

              La générosité du coeur, la noblesse intellectuelle et les inconditionnelles vertus du sport.

               Le parfait honnête homme doit : Aimer son prochain, avec tolérence, penser, avec grandeur d'âme et vaincre ou subir, avec élégance.

 

               - La vie est un grand cirque, qu'on doit prendre au sérieux !

 

                Un curé de MEZE a dit un jour, durant son prêche, en s'adressant à ses ouailles, pour les sermoner :

                - "Mezois, soyez dévots ou vous serez détruits !"

On aurait pu y ajouter, Mézois, mes oisillons !...

(En attendant, rien à voir, avec la légende du boeuf).  

 

                - "Fais le boeuf, en pays Mézois, tu rentres, la gueule de bois !"

(Extrait de la chanson, d'A.C.I. : "Cavalcade au 1er Mai)."            

 

                - A vingt ans, on est un tirailleur, à soixante : On devient philosophe : Sans être avare, les coups sont bons, mais ils sont rares !

 

                 A un copain, qui affirmait, avec force conviction : "Mieux vaut, la bière dans le corps, que le corps, dans la bière," je répondis :

                 - " Personnellement, je préfère, avoir du tanin dans le corps, que le corps, à l'athanée !"

 

               - C'est moins agréable, mais il vaut mieux, boire de l'huile d'olive, car avec, contrairement au vin, tu n'auras jamais de pépin !

 

                - Cet homme, boit. Ses enfants : Trinquent, et leur mère : Déguste ! Quand il rentre chez lui, il embrasse la porte et claque sa femme.- On perd toute tendresse, avec la gueule de bois !

 

                - Contropèterie : "J'aime mieux, un pet fidèle, qu'un pédophile !" Car il vaut mieux : "Un pet docile, qu'un pédophile !" Par ailleurs, ne pas confondre : "Une file de pets (ou dopée)", avec : "Un pédophile !"

 

                - Hélas, dans certains pays, la condition de la femme, relève : Des Droits de l'homme !    

 

                - J'ai vu, l'autre jour, au bar à quai, un type tellement barraqué, qu'occoudé au bar, je l'ai pris, pour un barracuda ! 

 

                - La culture a un coût, mais elle t'enrichit !

 

                - Moi, quand je peinds : "Je m'atisse !"

 

                Proverbe : "Quand on est jeune, on est : concave ; Et quand on est vieux, on fait partie des gens : Qu'on vexe !"

 

                - Je n'ai jamais fait du rock à la Star Ac, mais, par deux fois :

                                      La Star Oc, sur le Larzac !

 

                 Un Mézois, à son ami, Ch'ti :

                - J'en ai trop fait, du Languedoc. Je marne, à la valée, et, après avoir fait le cirque, à Gavarnie,  je reste, sur Doué, en vacances.

 

                 Sur "l'ile singulière," les Sétois sont souvent anars, mais comme Brassens :

                 - "Ce sont des anars, chics !"

 

                  J'ai rencontré, l'autre jour notre grand humoriste Méridionnal : Daniel VILLANOVA, et lui ai demandé comment faisait-il, pour avoir tant de succés ?

                   Il m'a répondu :

                   - "C'est normal qu'on me paye pour faire l'âne, puisque je suis de :                                                           BESSAN !"

                                    (L'Ane, est l'animal totèm, de la cité).

 

 

                    Réponse à un musicien idiot, qui n'y comprend rien, victime de la grosse tête, (Il se la pète !) et du syndrome de la répet :

                     - "Il y a des artistes qui crééent, d'autres, qui : Répètent.

- A choisir, je préfère l'original, à la copie !"

 

Julien PALACIO, AMI-FAN MARSEILLANAIS :

 

                     Mon ami Julien PALACCIO, est un grand poète Marseillannais, la preuve, il habite : 9 rue des Muses. (ça ne s'invente pas : les Muses étaient bien : Neuf !)

                     Non seulement, il écrit de beaux textes, mais il connaît par coeur, toute la poésie, d'Alphonse de La Martine. (Et, de : Gérard FRANCO).

                     Tout récemment, à une soirée : "Apéro-poésie, des Relèvements poétiques," dans le cadre des marines poétiques, à MEZE,  il décida de se lancer dans une oeuvre, d'arthur Rimbaud. (Ne pas confondre, avec Rambo, poète qui existe) :

                                   "Le bâteau ivre." (Le bien nommé !)

                      Il déclama, avec toute son âme, ce texte, comportant :

- Pas moins de 25 strophes, (quatrains) soit un total de 100 vers, en Alexandrins, de surcroît !                

                      Hélas pour lui, presqu'au bout de cette performance, comme il arrivait au port, si je puis dire, le malheureux, vers la 97 ème ligne, connut un trou noir. Il eut beau chercher au fond de sa mémoire, impossible de renouer le fil de ce poème.

                       Le sentant dépité, je lui tapai gentiment sur l'apaule, et pour le réconforter, lui dis :

                        - Ce n'est rien, Julien, te voilà victime d'Alzheimer, ou bien :    

                                    Du syndrome, du vers, solitaire !

 

EPICURE :

               - Le célèbre philisophe Grec : Epicure, dont la règle de vie, pour atteindre, l'ataraxie, était de se contenter de peu, dans l'existence, contrairement à l'art de vivre Epicurien, de Rabelais, demanda, à l'heure de sa mort :

               "Un petit morceau de paim, avec un bout de fromage."

                   - Rien de plus normal : Il était né à Samos !

 

               - Le grand philisophe, bien en avance sur son temps, bien avant Jésus Christ, avait inventé l'art de vivre entre personnes de bonne compagnie, hommes et femmes réunies, dans son "Jardin d''Eden," si je puis dire.

               - Tout à fait normal, car : "La poule a fait los ofs !"

 

               - Ce malheureux philosophe, souffrant de coliques néphrétiques, est mort de la "maladie de la pierre !"

               - Il paraît qu'il souffrit beaucoup, le pauvre, lui, qui militait pour la mort, fine, car, à l'époque : 

                         - "Elles n'existaient pas : Les piqûres !"

 

EXTRAITS DE CHANSONS (Morceaux choisis) :

CAVALCADE AU 1er MAI :

.../...

Ya pas la danse du soufflet

Mais le Boeuf et le Chevalet

Couleurs locales délavées

Au son des grailes essoufflés,     (Graile : Hautbois Languedocien)

Les Majorettes mijorées

S'exhibent au pas redoublé

A la baguette ou au sifflet

Aux couacs des cuivres un peu rouillés.

.../...

La tribune et le Officiels

Pavoisent, maudissant le ciel,

Son escorte et Monsieur le maire

Emergent en plein courant-d'air,

Je vois sur la gauche le Curé

Mais, je ne puis vous assurer

S'ils préfèr' l'ambianç' des kermesses

Ou perdr' son latin à la messe !

.../...

La cavalcade terminée

L'esplanade s'est animée,

- Fais le boeuf en pays Mézois

Tu rentres la gueule de bois !

Je me trouve un peu fatigué

Il est temps de se retirer

Portant le deuil du 1er Mai

Chacun déjà s'en va trimer.

 

Gérard FRANCO, le 31.01.1998

LA BONNE ROUTE :

D'un Espagnol (ou: Es-Papiol) d'une sciatique

On a bien failli divorcer,

J'entends : "Qu'avec oun Assiatique

Au lit, Franco était coincé,"

La rumeur courant le village

Vint aux oreilles de Mimi,

Afin d'éviter un carnage

J'ai filé en catimini.

.../...

Plus de trente ans de mariage

Notre amour avait grand besoin

D'un petit coup de maquillage

Après tout, nous le valons bien !

 

Gérard FRANCO, le 22.10.2009

 

LA FILLE DE LA 113 :

Je croise en rade sur la route

A la monté de "Fraîche olie"                         Refrain :

Affirmant : "Ma voiture broute"           -  Mais, quelle fille ! (Bis)

Une blonde plutôt jolie,

 

Aucun retard à l'allumage

Nul besoin d'ouvrir le capot

Elle avait perdu son plumage

A poil, comme une poule au pot !

 

Elle m'a bien pris sous son aile

Et même à ses petits oignons

C'était une professionnelle

Qui ne visait que mon pognon,

 

Concupiscent avec aisance

Soulagé de cinquante euros

Mes yeux pleins de reconaissance

Je n'avais plus l'air d'un héros !

 

A ca tarif là quelle oseille

C'est bon de livrer ses dessous

A moins qu'un barbeau de Marseille

Vienne protéger tous ses sous,

 

Tirer des plans sur la Grande Ourse

Ce n'est pas vraiment mon parti

Mais je les vois côtés en bourse

Du financement de parties !

 

Agité d'une grande crainte

C'est qu'un beau jour avec passion

Mimi découvre notre étreinte

Par tous les vices d'un morpion,

 

Marri, trompé comme ma femme

Je me sentais un peu fautif

Inutile d'en faire un drame

J'avais mis mon préservatif !

 

Je déplore et c'est pathétique

Qu'en amour comme dans le sport

Sans scrupule au viol de l'étique

Certains, se font les couilles en or !

 

Gérard FRANCO, le 23.12.2005

LE NOILLY PRAT :

REFRAIN :

 

Le monde entier serait à cran

Sans ce vermouth de Marseillan

Tant c'est couru qu'il a du cran

Le Noilly Prat de Marseillan !

 

Gérard FRANCO, le 10.02.2007

LE RAP DU DERAPEUR :

T'as jamais eu de veine

T'es un gouffre, un aven

Tu hais les bains d'anène

Tu es un sac à vin.

 

Tu sirotes l'anis

Ne fais que gamberger,

A l'heure du berger

Toujours dans le pastis.

 

Chaque jour sans conteste

T'es noir comme la peste,

Si les chapons t'arrêtent

T'es cuit, pour l'alcootest.

 

Tu joues au grand guignol

A péter des bagnoles,

T'as jamais eu de bol

Trâinant ton sac à mol.

 

De toi, j'ai mon sadoul

Tu bois comme un maboul

Et t'es tellement saoûl

Que t'appelles Raoul !

 

         Refrain

 

Oh, le con ! Quelle cuite !

File-moi, le volant

Va cuver un moment

Achète une conduite !

 

Gérard FRANCO, le 14.02.2000

L'ESPRIT DU VIN :

(Chanson, qui fait appel au bon Esprit, au mauvais esprit, et au St Esprit !

- Ecrite, le 28.10.1998)

.../...

Pourquoi, vous étonner qu'il me conseille en vain    (Le toubib)

De moins lever le verre et de l'eau dans mon vin ?

Vous savez que le vin me met l'eau à la bouche

Et friand d'A.O.C je trouve cela louche ?!...

.../...

Mon père je l'avoue j'aime bien le bon Dieu              (Au Curé)

Mais confonds spirituel avec spiritueux.

Mon fils, dans ce cas là à toi je le confesse

J'aime le vin de MEZE, avec ou sans la messe,

Mais, soyons modérés avec l'Esprit du vin

Qui peut-être un pêché face à l'Esprit Divin !

Puis il déclame enfin en levant les deux doigts

Hanté par le malin - "Je redoute de toi,

Tu risques de nous faire une crise, deux fois !"

Sur ces mots je partis sous son signe de croix...

Je suis un bon vivant pêcheur inpénittent

Et s'il fallait une morale à cet instant

Là, j'extrapole un peu Dieu, me pardonnera

Bien sûr, mieux vaut le vin d'ici que l'au-delà !

LE STRING ET LA PIN-UP :

Elle traverse en pull-over

Sans un soupçon de ridicule

Mini jupe et string couleur chair,

- Comment, veux-tu

Comment veux-tu ?

- Que je circule !

.../...

Peut-être est-elle à Vancouver

Sous un ciel gris de crépuscule,

Ou perdue au diable vauvert ?...

- Comment veux-tu

Comment veux-tu ?

- Que je l'accule !

.../...

Gérard FRANCO, le 29.03.2008

LO GRAILE ("Lou graïlé" - Hautbois Languedocien) :

Il m'a promené jusqu'en Chine

Pour le festival de CHANGAÏ,

J'ai trinqué comme les Ts'in Ts'in       (1)   - (Dynasie qui unifia la Chine)

Célébrant le vin, à YANTAÏ.                (2)   - (Ville de 7 millions d'Habitants,   

                                                                  en mer de Chine)

Sais-tu, là-bas comme on appelle

Ce breuvage à base d'anis

Un peu trop clair sous la tonnelle

"Le pèque y noie dans le pastis !"       (3)  -Ou : Le Pékinois. 

 

On a fait pas mal de rencontres

Des jaunes, des blancs et des noirs

Toujours partants mais jamais contre

Le coeur battant d'amour, d'espoir.

 

Bien avant mon heure fatale

J'aimerais passer le flambeau

A ma descendance en cavale

Qui viendrait charmer mon tombeau !

.../...

 

Gérard FRANCO, le 3.04.2010

  1. - 1960 : Spécialiste de la pièce montée, la pâtisserie Barthélémy FRANCO (Ci-dessous, à gauche), était située : 18 rue du Docteur Magne.

  2.  - Ci-dessous, à droite, sur cette photo, prise en 1950, Augustine FRANCO, est derrière son comptoir.

 Extrait de : "Mémoire en images, MEZE, tome II, d'Alain CAMBON.

QUESTIONS-REPONSES :

- Quelle est la différence, entre Gérard FRANCO, et Georges BRASSENS ?

            Le poète Sétois, monté à PARIS, a été lancé par Patachou, au Cabaret des "Trois Baudets,"  tandis que, pour l'Hutboïste Mézois, fils de pâtissier :

            - "C'est :à cause de la pâte-à-choux, qu'il est resté : Empégué, dans le pétrin, à MEZE, rue du Docteur Magne, à côté de la rue des Trois Pigeons !"

            Par ailleurs, si tous deux aiment les chats : Le minet du "Grand Georges," campait toujours, sur son bureau, tandis que , la chate de Gérard, "le Brassens de Thau," aime à se caler, près du clavier de l'ordinateur.

(Un "Mac caboche," je crois ?)

             - "Peut-être, à cause de la la souris ?"

Il parait même, qu'elle la caresse, avec sa queue ! (La chate), en miaulant : "Yahoo, yahoo !"

 

- Quelle différence, entre : "Les grailhes de Thau," (Du graile, en Occitan) et les : "Mourres de porc," (De morre, en Oc) ?

               - " C'est, la même musique, mais, les uns, sont des zigomars, les autres : Des zigothau !

               A ce sujet, si, les uns ont repris ma chanson : "Papète cailloux," c'est que je la leur ai livrée : "Franco de port et d'emballage !"

 

- Quelle différence, entre Paris et le Pays Andois ?

               - "A Paris, on la sort bonne ; Dans l'Aude : On la narre bonne !"  

 

- Que transporte, un bipède, sur la route de Sète, dans un 4x4 ?...     

                - Du trois-six !

 

- Quel auraitt pu être, le comble, d'un musicien ? 

              - C'est : Qu'il eût donné le la, si, effaré, sur le dos de Rémi, au sol. 

 

- Quel est le comble du jouteur ?

                - C'est : De tomber amoureux, de remonter mouillé, et de retomber aussi sec !

 

- Le comble de l'honnête homme ?

                 - C'est : De s'effacer discrètement, par une porte dérobée !

 

- Le comble du piéton ?

                  - C'est de crever, sur un passage clouté !

 

- Qu'est-ce que le folklore ( la musique traditionnelle) ?

              - C'est de la musique, au ras des pâquerettes, de la France profonde, pour remonter le temps.

(Certains, en disent : "C'est du passé, c'est dépassé, il faut le clore !)     

 

- Qu'est-ce, que : l'aligot ?

               - C'est une spécialité de l'Aubrac, qui se mange, comme un saligaud, et contient des oligoéléments. (ou : aligot-éléments).

C'est : Céline Dion, qui me l'a soufflé. - "Avé(c) Roné, par ci ; Avé Roné, par là, je la coyais : Aveyronnaise !" (Son René, c'est quelque chose !)

                Il s'agit, en tous cas, d' un plat vachement bon, dont on ne se lasse pas. On en mange, à tire l'arigot !...

 

-Que sont les fiançailles ?... Un compromis !

 

- Pourquoi, les Basques, on tendance à l'embonpoint ? 

              - "Parce qu'ils sont bien dans leurs basques (ou baskets), avec :                            "La taille Landaise," et : L'habit, d'Auch."

(Par ailleurs, je pense :

               -  Qu'en se privant, ça leur met les nerfs : En pelote !)  

 

- Pourquoi les écoliers Mézois, n'ont pas besoin d'apprendre leurs leçons ? 

               - "A MEZE, pays des huîtres, on connaît tout : Parqueur." 

 

- A quoi, reconnaît-on, un jouteur Frontignanais, au tournoi du 14 Juillet ? 

                - "Il a : La tête rouge, et le ventre bleu." 

 

- Pourquoi, l'ex Président des Etats-Unis, Georges BUSH, pour certains : Grande gueule, pour d'autres : Fine mouche, fait-il la fine bouche, en disant qu'il ne peut pas sentir les vins Français ? 

                - "Il les trouve : Bouchonnés." (Bush au nez, forcément !)

Ce n'est pas étonnant, qu'il ait reçu, en signe de représaille, des chaussure, sur la figure, de gens, en colère, criant :

                 - " A bat bush !"

 

- Football : Quelle est la différence, entre LYON et MONTPELLIER ? 

                 - "Les supporters de l'O.L., sont des Gones, tandis qu'à La Paillade,

                                             On est : Antigone !"

                       (Ce n'est pas Loulou NICCOLLIN, qui me contredira).

 

- La différence, entre MONTPELLIER ET MARSEILLAN ?

                   - A Montpellier, se trouve, le stade Richter, à Masilhan :

                                   Les caves, Richemer !

- Entre : AGDE et BALARUC-LES-BAINS ?

                    - La perle Grecque du Languedoc, héberge : L'Ephèbe, au logis ; A la ville thermale : La phlébologie, je dirais même "La fée au logis, pour cette cité balnéaire !

                    Par ailleurs, la ville a fait beaucoup, pour facilier la circulation des handicapés, en fauteuil roulant, afin d'asseoir sa réputation, et pour éviter d'être taxée de : Station de boue, pénible !

                     L'histoire locale dit, que l'un des frères Montgolfier, Joseph, est décédé, alors qu'il trouvait, dans l'établissement thermal. (Amis cutistes, rassurez-vous, sa vie est arrivée, à son terme, non pas, à cause, des eaux de Balaruc. Il a quitté l'eau-de-là, en raison, d'une hémorragie cérébrale).

                    Sa dépouille, a séjourné (si, je puis dire), un certain temps, dans la cripte de la Chapelle Balarucoise : "Notre Dame des eaux,"De Aquis," et non pas : des os), avant d'être transférée, dans le caveau de famille, en son pays d'origine, près d' ANNONAY.(Ardèche).

                     Connaîssez-vous, la devise, alors inscrite sur le fronton du cimetière d'Annonay ?

                                           - A nos morts !

                     (Cette inscription a (ou est), aujourd'hui, disparue).

  Dernières infos, sur BALARUC :

                     - Jadis,dans l'établissement privé, on y soignait tout : Des blessures de guerre, aux maux d'estomac. L'eau thermale, était vendue en bouteille, à la buvette, et même, dans les pharmacies. Des témoignages écrits, racontent, qu'on voyait souvent des curistes, partir en courant, dans les vignes voisines, pour se soulager. Certaines mauvaises langues, ajoutaient même, pour justifier les vertues laxatives de ces eaux, qu'il n'y avait rien d'étonnant, car : 'Ces bouteilles, étaient remplies, avec de l' eau courante !

                        - De nombreux illustres personages sont venues se faire soigner, aux thermes de BALARUC-LES-BAINS, comme : Napoléon 1er, Georges Montgolfier, Paganini, et même FRANCO, pour mettre un terme à sa carrière ! (Gérard, bien entendu !)

 

- Pourquoi, on en fait tout un plat, quand on parle : "Du Cranc de Marseillan ?"

                    Parce qu'à Marseillan :

                            - "On en pince, pour le crabe !"

 

A la question : Es-tu homo ou étéro, je réponds : 

                             - Je suis hétéroclits !

 

  A L'APPEL DES HAUTBOIS

 

Qu''elle soit rouge ou bleue en haut, sur la tintaine

Le jouteur doit avoir surtout, le pied marin

Le pavois bien plaqué la lance à bout de main

Pointant son adversaire qui l'attend de pied ferme.

 

A l'appel des hautbois les deux barques s'élancent

Et de ce choc frontal, déstabilisateur

Des deux antagonistes il ne sort qu'un vainqueur

L'adrénaline monte quand les planchers s'avancent.

 

Mais, que seraient les joutes sans leurs hautboïstes ?

Gérard FRANCO qui joue est parmi ces artistes

Il tient, faut le savoir plusieurs cordes à son arc.

 

Poète, parolier chanteur et guitariste

Maniant dérison en parfait humoriste

Pétri d'un tel talent il ne connaît le trac !     (1)

 

Julien PALACIO, le 25.07.2007

9, rue des Muses

34340 MARSEILLAN

 

  (1) - Commentaire personnel, sur ce vers :

    "Excellente expression, s'agissant, du fils, d'un bon pâtissier !"

Et pour confirmer cette formule, disons qu'en public,

Je ne suis pas un : "Pâte-à-trac !"

 

"On se saura jamais de quelle farine est faite l'émotion Georges Brassens. Ni vous, ni lui, mais laissez-la monter en vous. Voici que s'entrebaille la porte de l'Olympe de ce Jupiter à moustache."

Midi libre, de 10.09.2011  : Chaque jour, un clin d'eil à l'ami Georges, né voici 90 ans, mort il y a 30 ans. (René Fallet, programme du spectacle de l'Olympia, janvier 1960) 

 

HISTOIRES BELGES :

- Quelle est la différence, entre un Belge, et un Mexicain

            Le Mexicain, va manger épicé, tandis que le Belge :

                                Va boire, et pisser !  

          (Victime, parait-il, du syndrome, du Mannequin-Pis).

          C'est pour cette raison, qu'il serait question, de supprimer les élections, le Dimanche, en Belgique, de peur, qu'avec les fêtes de la bière, aussi bien : Flamands que Wallons, aillent pisser, dans l'isoloir.

           - D'autant que la votation, y est obligatoire.

 

- Pourquoi, les Belges, n'aiment pas, qu'on les confonde avec des Suisses ? 

            Ils ont en horreur, qu'on les prenne, pour des Confédérés !

 

 

            Ma femme, vend des fruits de mer, sur l'avenue de Pézenas, à Mèze. Un Belge s'arrête au stand, pour lui dire qu'il avait pris des huîtres, la veille, et que, depuis, il a mal au ventre.

            Mimi lui demande alors, si, en les ouvrant, il n'avait pas senti une odeur suspecte ?...

            Et ce grand gaillard, de rétorquer :

                                   " Pourquoi, il fallait les ouvrir ?"          (Dur,dur)

 

 

           MOULE-FRITES :

           L'hiver 2012 a été très rigoureux : Le flamands roses, dans les étangs littoraux, se les gelaient tellement, que beaucoup sont morts, les pattes prises, dans la glace !

            Nous, sommes là, à l'antipode de l'été, où descendent les Flamands Belges, pour faire moule-frites sur le sable brûlant de la plage naturiste du Cap d'Agde. Ils aiment, ces culs blancs, à voir la vie en rose, à la rage du soleil, avant de rentrer aussi bronzés, que leur cher Mannequin-pis !

 

 

Post-scriptum :

            Je demande, à mes amis, Belges, que j'ai su apprécier, dans ma jeunesse, durant mes virées, sur la côte, ou bien, à Bruxelles, de bien vouloir prendre, toutes ces boutades, avec dérision.

              Et, je pense à notre Grand Maître, en matière de calembourgs : Raymond DEVOS, Grand enfant du Plat-Pays et fervant défenseur de la "Franco-phonie," qui disait, entre autre : 

              - "Quand un vert, voit rouge, il vote blanc !" (Si je pouvais me permettre, je rajouterais) :

               - "En chantant : Noir, c'est noir !"...

               Sans oublier : Jacques BREL, valeur sûre, de la chanson Française.

               Je joue aussi, de la clarinette ;  Je chante, également, et souhaite, fort humblement, suivre la voie, que l'un et l'autre, m'ont tracée.

                Ne dit-on pas, chez nous :

                - "Qui aime bien, châtie bien ?"

        D'ailleurs, n'ont-ils pas le culot de dire de leur côté à notre endroit, que : 

- "Le Coq Gaulois, chante sur le fumier, même les pieds dans la merde !"...

HISTOIRES VRAIES - ANECDOTES :

SORS DEHORS, QUE JE TE RENTRE DEDANS !

     A la suite, d'un différent, survenu, lors d'un tournoi de joutes nautiques précédent, deux jouteurs embarqués sur la rouge, s'affrontèrent  verbalement.

     L'un d'eux, se trouvait dans la barque, pour faire du poids, tandis que l'autre était déjà, sur le plancher.

     La discussion s'envenime, à l'évocation du litige, et, chacun défend sa position, quand au plus fort de cette joute oratoire, le jouteur du bas, dit, à celui d'en haut :

                     - "Si, je monte, sur la tintaine : Je te démonte !"

                                 Et son adversaire, lui répond :

                         - Et moi, si je descends, je te descends !"

LES MOURRES DE PORC

     J'ai entendu dire, qu'un musicien des "Mourres de pors," de Sete, était bien malade.

     Il paraîtrait, que les gars, de ce groupe de musique et chansons traditionnelles, ont voulu, faire le boeuf, avec : "Les garçons bouchers," mais alors que l'un d'eux, se décarcassait pour sortir de son instrument, des airs de l'harmonie municipale, juste au moment, où il allait prendre son pied, il fut saisi, d'un malaise.

     D'après la faculté, il s'agirait de la listéria, et non pas, de la vache folle. (?) Bien que, l''on dit, à MEZE : Avec le boeuf, pas de quartier, mais il s'agit, d'une rumeur !. ...

Pierre VASSILIU

           Nous étions une bande d'artistes, associés sous la bannière, des : "Relèvements poétiques," (terme de marin, à Mèze, forcément !)

           - Disons : D'un cercle de poètes, réapparus ! 

           Après une manifestation culturelle, à la bibliothèque, nous allämes sur le port, manger au restaurant : "Chez le Pape." (Ca ne s'invente pas !)       (1)

           En face notre tablée, d'une vingtaine de personnes, se trouvaient, quatre  jeunes-filles.

           L'une d'elle, se lève de table et vient me voir, pour me demander :

            - "Vous êtes : Pierre VASSILIU ?"

            Pour rigoler, je lui réponds :            

            - "Oui !"

            - Pourriez-vous, me signer, une autographe ?

            Et, dans la foulée, je découpe un coin de la nape blanche, en papier, et mentionne :

             - "Avec mes amitiés, de MEZE !"

             Signé : Pierre VASSILIU.

             Cinq minutes après, la voilà qui revient en disant :

              -"Vous êtes : Gérard FRANCO ?"

              Je lui réponds :

              - "Oui !"

              - "Pourrais-je avoir une autographe ?"

              Je luis rétorque, en plaisantant, que j'avais toujours peur de faire des fautes d'autographe, mais, de la même façon, lui rédigeai, la même dédicace, à mon Nom, cette fois-ci.

               Intrigué par cette histoire, j'allai, en fin de repas, voir ces demoiselles, pour avoir des explications. L'aînée,  m'avoua, être la copine de Julie, ma fille, et que, pour rigoler, elle s'était amusée, à faire "marcher" (au propre, comme au figuré, du reste), une des trois autres copines, un peu plus jeunes qu'elles.

               Et bien, croyez-moi ou pas, au sortir de l'établissement :

               "Je vascillais !"

 (1)"Heureux comme un Pape, adorant, la vie"

(Extrait de la chanson : "Le petit paté de Pézenas.")

UN COUP DE BOUZIGAUD

     Durant plusieurs années, il m'est arrivé, d'animer, en musique, avec mon hautbois Languedocien, accompagné d'un tambour, le carnaval des écoles, à   

                                          BOUZIGUES.

     A l'intérieur du village, je rencontre un petit, déguisé, avec sa mère, qui se pressaient, au départ du défilé.

     Chemin-faisant, je lui demande tout bonnement, en quoi, il était déguisé. Il me répond benoitement :

                                      - "En Ben Laden !"

                        Sa maman, alors, le reprends et lui dit :

                        - "Et non, en : Aladin, abestit ! (Abruti)

HUMOUR NOIR :

LA CREMATION

        J'ai chanté, l'autre jour, pour les crématistes, de SETE et du Bassin de Thau.

       Avant de commencer, j'ai pris le micro, pour saluer mon ami : Luc FORTES, Président de cette association, à but non lucratif, qui m'a expliqué, avec philanthropie, que ce genre d'obsèques, te faisait économiser 30%, par rapport, à un enterrement traditionnel.

         Et je l'ai vivement remercié, de m'avoir, tendu la perche, pour faire vivre mes chansons !

         Sur sa demande, d'adhérér à son association, je lui ai répondu, que, presque durant toute ma vie professionnelle, c'est à dire, plus de 30 ans, je m'étais occupé, à la mairie de Mèze, des élections, fervant défenseur de la vie démocratique, locale, départementale, régionnale, nationale et Européenne, bien au-delà de mon Patronyme, au demeurant, pas très Républicain ; Mais que, des urnes :

         J'en avais soupé !

         Par ailleurs, ayant mené, en parallèle, une vie de poète, j'espèrais doublement, faire partie des élus, pour l'au-delà ; A moins, que je ne périsse, en enfer, ce qui, en mon âme et conscience, serait un accident, où, au pire : Comme un autodafé, (pour ne pas dire, une bombe), à retardement. Au cas où, autant attendre, pour cramer !

        De plus, je lui ai expliqué : Que tout petit, on m'avait interdit de jouer, avec le feu.

         Plus tard, dans ma folle adolescence, on m'a traité de : "Tête brûlée."

         Sans oublier, que le plus clair de ma vie, je me suis calciné, pour ma femme et mes enfants ;

         Et qu'en tant qu'artiste, j'ai toujours éprouvé, un réel plaisir, à brûler les planches !

         Et, par dessus le marché, on voudrait incinérer, qu'à peine éteint, je dois partir en fumée, comme : Caramantran ?

         Et, pourquoi pas, avec mes héritiers chantant, à tue-tête, en musique :

         - "Adiu, paure, Carnaval,"

         Devant, un véritable : Feu de joie !"...

         Surtout, si je suis, sous antiinflammatoires !

         Outre cela, il me faut avouer, que, j'ai tellement aimé le vin, que je préfère, à choisir, finir ma vie, dans un caveau !

         Autant vous dire, qu'après de tels propos, j'avais tellement voulu prrendre, les devants, que : J'étais grillé, d'avance !

          J'ai quand même assuré mon récital, où, je leur ai mis le feu, avec ma guitare et mon hautbois, si bien, qu'à la fin, j'étais complètement cuit, au point qu'en rentrant chez moi,pour avoir voulu, allumer ma femme, ça sentait le roussi. Forcément, j'avais une cuite : Carabinée !...

 

          Pour finir, encore une anecdote :

          Je compte parmis mes fans Mézois, Marc MAURRAS, dit : "Bébélou," ami d'enfance et collègue de la mairie, qui chante mes chansons et les diffuse, pour les faire connaître, au cours de ses animations, de D.J occasionnel.

           Il doit ce sobriquet à notre jeunesse, parce qu'à l'époque, il ressenblait à Belmondo. "Bébel," tout comme moi, sommes devenus, de vieux loups de mer, même si, nous avons avons, laissé pas mal de plumes, depuis ce temps là, de l'insouciance !

          Une fois il n'y a pas si longtemps de cela, pour animer un repas de notre "classe, la 67," il avait installé tout son matériel : Sono, lumières, et même, fumigènes !

           L'ambiance était à son comble, et la scène tellement opaque, que l'un de nous, s'exclama :

           - "Quand dé feun !"

           Lors, moi, de lui répondre :

           - "C'est normal, il est : Fossoyeur !

           (Il n'y a pas de fumée sans feu).

"LE TOURNAMENT" (Dans l'esprit Mézois)

 

              Il fut un temps, il était de tradition, à MEZE, comme dans plusieurs villages de la région, pour la fête locale, (Outre les sorties tant attendues du Boeuf et du Chevalet, animaux totémiques de la cité), l'organisation, par le Comité des fêtes, du :                                                                                                                                                        "TOURNAMENT." 

 

              Il s'agissaiit d'une course cycliste, à travers la ville, sur un circuit, que les coureurs devaient boucler, à plusieurs reprises, avant le tour final.

              Cette année là, les concurents devaient monter la rue des Adieux, la bien nommée !

               Quelques jours avant, les champions du cru se réunissaient, pour reconnaître le parcours, et ses difficultés.

               Après un tour de chauffe, un peleton se forma, sur l'esplanade, pour échanger ses impressions. Ils étaient en grand Parlement, quand l'un des adeptes, de la petite reine, déclara :

               - "Moi, ce que je redoute le plus, c'est la côte du cimetière !"

               Et l'un de ses copains, pour l'allumer :

               - "T''as peur de monter la côte du cimetière, que tous les morts de Mèze, l'on montée !"

               Et notre champion, de rétorquer :

                - " C'est justement cela, qui m'inquiète, car ils ne l'ont jamais redescendue !"   

 

                A ce sujet, l'autre jour, je rencontre le fourgon mortuaire de la Société AMBROSINI, (Ambrosi, qui ? J'ai bien dit : Ambrosini !)  qui montait cette côte, à reculons !  J'interpelle alors, mon ami Georges, pour savoir, ce qu'il se passe ?

                Et, ce dernier, de me répondre :

               - Je descends au point mort, car, c'est le moteur, qui est cuit !"

 

POLITIQUE :

- Pourquoi, Jean-Marie LE PEN, arrête la politique ? 

             Il a dit :

                  - "A mon âge, ça ne vaut plus la peine, que je me casse le melon,                                                        pour les Français !"

 

                   J'ai été "embrigadé," par hasard, en un concours de circonstances, (Mon Grand'père et papa, émigrés économiques, en 1927,  ayant apporté de l'aide, par solidarité Espagnole, en 1936, aux internés du camp de concentration d'Agde, qui se trouvait à côté d'un terrain, leur appartenant) ;  "Embrigadé volontaire," donc, dans l'ASEREF : Association pour le souvenir de l'exil des réfugiers Espagnols, en France .

                    De fil en aiguille, je me suis mis à chanter en Espagnol, en plus du Français et de l'Occitan !  

                    Notamment, dans un spectacle  intitulé : "Gérard FRANCO, chante en Espagnol, dé clavélito, à la mala réputacion."

                     Avec un nom pareil : FRANCO, cela m'a posé au départ, quelques problèmes psychologiques, parmi les Républicains, trouvant que ça faisait, un peu tache, dans le genre : Obama à la Maison Blanche, sans vouloir froisser, la bonnière étoilée, mais philosophe, je leur ai dit :

                     - Ne nous plaignions pas, mon père aurait pu me prénommer :

                                 Adolphe, Bénito, ou Francisco !

 

P.V. :

                         D'après la police Européenne, Daniel COHN BENDIT, a falli, être verbalisé :

                       - "Quand notre "Dany," était rouge, il est passé au vert !"

SACRE GAZIER ! (Ou : L'éternelle obscurité)

           Nous avions un copain, pas très fût-fût, qui travaillait chez E.D.F, après avoir démarré sa carrière, dans le gaz.

            Il reprenait souvent, le slogan publicitaire, très branché, de son entreprise :

            - " Chez E.D.F. on vous doit plus, que la lumière !"

            Le connaîssant très bien, et pour l'allumer, je me permis un jour, de lui répondre, sans la moindre intention de lui faire de l'ombre :

            - "N'as-tu pas peur, de te faire virer, à l'heure du photovoltaïque, toi, qui n'a jamais pu, nous apporter la moindre clarté ?"

            Un autre collègue, en remit une couche, qui faillit le faire disjoncter :

            - "Il paraît que dans ta boîte, t'es jamais au courant de rien ?"

             Il se vantait, tout fier, d'avoir fait : "Centrale," mais, rien à voir, avec la Grande école d'Ingénieurs, il avait, je crois, travaillé, dans une centrale nucléaire, à Marcoule, ou Fos-sur-mer.

             Il disait toujours, en te voyant :

             - "Ca bute, ou ça gaze !"

             Bien souvent déconnecté de la réalité, le pauvre est aujourdhui, décédé. Il est mort d'avoir trop d'urée, ou peut-être, trop vécu ?

             - Ne serait-ce pas, en forçant un peu trop, sur l'eau-de vie, qu'il est parti, pour l'au-delà, à moins que ce ne soit, des séquelles d'un accident de poucette, survenu, quant il était petit ?...

              Je me souviens, qu'une fois, en visite dans un caveau, au Château la Pompe, après avoir pas mal dégusté, il m''avait dit, sous tension :

              - Devant toutes ces barriques de vin, j'ai le coup de foudre !  

               Il ne buvait que du 13 vol. (t)    

               Son état de santé, n'était pas très brillant, sur la fin, mais c'est surtout, lorsqu'il s'est éteint, un beau jour, dans la nuit, que nous nous sommes vraiment rendu compte, que ce n'était pas une lumière, ce grand couillon :

               Il est parti sans dire : Adieu !

               (A sa décharge, si je puis dire, alors qu'il se trouvait au plus mal, à l'hôpital, en soins intensifs, il fut victime d'un court-circuit, panne de courant, qui évita de le débrancher !)

               - Et dire, qu'au départ, il y était rentré, pour une  simple ampoule !...

 

Photos truquées, envoyées par mon ami Mézois, fan People & showbiz, travaillant à PARIS : Charly APREA.

PEOPLE - INFOS :

CHANSON : "Gérard FRANCO, futur Disque d'or !"

                Gérard FRANCO, Auteur compociteur interprète Mézois, en résidence, à BALARUC-LES-BAINS, pense à terme, devenir : "Disque d'or!" et s'explique : "Il y a 45000 curistes à l'année, dans la 1ère station thermale de Méditerranée. Avec ma chanson éponyme, sur les thermes, si je vends un disque, pour cinq curistes, dans dix ans, je suis Disque d'Or ! - Ce serait, la meilleure façon, de mettre un bon therme à ma carrière !!!" ...

CINEMA :

               Après sa courte apparition, dans le film : "La graine et le mulet," cinq fois Césarisé, au Festival de Cannes, et Prix : Louis Deluc, à la Mostra, de Venise, ("La tirade des nèms"), Abdellatif KECHICHE, qui suit, de plus ou moins loin, ses anciens collaborateurs, a téléphoné, en personne, à Gérard FRANCO pour lui proposer le rôle principal, dans sa prochaine réalisation.

                      Le Maître, Chanteur a refusé, car il s'agissait de :

                                       "La brème et l'enculé !"

                                  (Un long-métrage, de surcroît !)

FAITS DIVERS :

Tennis :

                Un grand tennisman Américain, vient d'être arrêté, et mis en examen,

                                                  Pour :

                                   - Raquette, à main armée !

                 Il aurait sévi, dans le monde entier,

                                    Depuis, Roland Garros, jusqu'à : Flushing Meadows.

                 Sa technique, était toujours la même :

                 Attaque, à balle réelle, ou, au filet, pour étouffer, sa victime, ou, la faire cracher !

                 Il a été surpris, en flagrand déli, par les caméras de surveillance.

                 C'est, le Commissaire Mac Culot, qui est chargé de l'affaire, mais, il pourrait être libéré, sous caution, s'il rapporte la Coupe Davis !.

Musique :

               J'ai été tout dernièrement, littéralement agressé par un intermittent du spectacle, jaloux de moi, qui m'a menacé. Savez-vous, pourquoi ?

               Il m'a dit:

               - C'est injuste, avec toi, le spectacle, est permanent !

NE PAS CONFONDRE :

- L'antidépresseur et : Le bar, biturique.

 

- Le Karaoké, ou : La caraque, au quai.

PUBLICITE :

         Il existe un bon restaurant, à MONTPELLIER : "L'Oignon givré." Je vous le conseille vivement, car il n'y a pas de congelé !

DES HISTOIRES, A LA Raymond DEVOS :

AMENDE HONORABLE :

                     C'est le printemps !

                     Au bord des routes, les amandiers sont en fleurs...

                     La Police municipale m'a verbalisé, en ville, à SETE, pour avoir, au volant de mon véhicule, doublé une file de voitures, dans un couloir de bus, en me signifiant que, pour  gagner quelques places, j'avais perdu 135 euros.

                     Ma femme, assise à côté de moi, me conseilla de ne rien dire, afin de ne pas agraver mon cas. C'est pourquoi, lorsqu'un des deux agents, après m'avoir dressé procès verbal, me demanda si je reconnaissais l'infraction, je répondis, fort humblement :

                     Oui, Monsieur l'agent,

                     - Je fais Amende honorable !

(90 euros, en réglant, le lendemain, par timbre-amende)

A VISTA DE NAS (Ou : Les Portugaises ensablées) :

         C'est l'histoire d'un gars, sourd, de l'oreille droite, qui va se faire opérer, à l'hôpital de MARSEILLE.

          Malencontreusement, on l'opère de l'oreille gauche !

          A son réveil, le pauvre bougre s'en aperçoit, car il a beau tendre l'oreille, il n'entend plus rien

          Cela lui met, si je puis dire :

          La puce à l'oreille, pour qu'il se pique, de savoir !

          Il entre dans une colère noire, et, ne l'entendant pas, de cette oreille :

          - Il crie comme un sourd, à qui veut l'entendre !

          D'entrée, tout le personnel lui pose un lapin, réuni, pour fêter la chandeleur et partager, des oreillettes !

           Le lendemain, l'infirmière lui explique, qu'il s'agit d'un malentendu, mais, ce dur dl'oreille, demande à voir le responsable du service.

           L'interne, tente de lui expliquer, que c'est à cause d'une faute de frappe, de la secrétaire et que lui, n'y est pour rien, dans cette affaire, mais qu'elle va se faire tirer les oreilles !.

           Bien entendu, ce patient, au comble de l'impatience, devant tant de non-dits et d'éloquent silence, annonce qu'il entend bien, faire appel, déclarant que cela dépasse, tout entendement.

           Et le chirurgien, à bout d'argument, se borne de lui rétorquer :

                        - "Ecoute, tu le vois, comme tu l'entends !"

           Comble de malchance, le malheureux était :

                Un Ivoirien, qui cherchait, sur la côte, d'y voir, plus clair !).

                                                Moralité :

           - C'est clair, qu' Il est des fois, où, l'on a de quoi, broyer du noir.

 

           Il paraît qu'il déposa plainte, à la gendarmerie, où fut dressé, par écrit, un procès verbal, mais je n'entends pas vous dévoiler, la fin de cette sombre histoire.

           J'en terminerai, simplement, par ce sage conseil :      

 

                            Par précaution, avant de vous faire opérer,

                                  Ouvrez l'oeil, ou tendez l'oreille.

                                     - A bon entendeur, salut !  

 

C'EST LE BORDEL :

            Deux bons copains, montent à PARIS, pour descendre au boxon.    

            Ils avaient décidé, de profiter de l'opération :

                "Portes ouvertes," des maisons closes.

            Chacun d'eux, tire de son bord, puis ils se retrouvent : 

           - Alors Gé, ça c'est bien passé ?

           - Putain, non, Robert, ne m'en parle pas !  Quand je lui ai mis la main au sein, elle m'a crié :

           - Lâche mon Robert !

           - Dans la bagarre, j'ai d'abord cru, qu'elle parlait à sa collègue de la chambre d'à-côté, à dessein, animée d'une crise de jalousie, vis-à-vis de toi.

             Tu savais, toi, qu'on les appelait : "les Roberts" ?...

             Entre nous : Elle a soudain, pris la mouche, et, en montant sur ses grands cheveaux, elle m'a fait râter le coche !

             Je t'assure, elle m'a bien balancé : Une claque !

             Ecoute, au lieu de me filer un coup de fouet, ça m'a tellement refroidi, que, même dans le feu de l'action, et malgré ses artifices, j'ai eu beau tenter de faire diligence, j'ai raté le train.

             Je n'ai pas pu tirer mon coup, le pétard était mouillé !

            - Je me mets à ta place. C'est dur, de décoller, quand le bonbon, colle au papier. Et de voir ainsi, ton projet capoter, même sans préservatif !...

            - Je bisque, parce que, c'était vraiment : Une bombe sexuelle, une bombe anatomique, quoi !

            - Ne rigole pas, avec ça, elle aurait pu, en s'éclatant, s'exploser en vol et te péter dans les bras. En pareil cas, t'aurais été dans de beaux draps, avec ta femme !

             - Normalement, ma mie, (C'est le diminutif, de "Micheline)", elle n'a pas, à prendre partie.

              J'étais en train de te dire, qu'elle n'aurait rien à redire : On est dans une maison de tolérence !

             - Finalement, c'est tant mieux, mais t''aurais du, quand même, te méfier. Je crois que c'est la Saint Mamert, aujourd'hui, ou la Sainte Croix ?

            - Oh, Macarèl ! C'est pour ça, qu'elle m'a dit :

            - C'est les Saints de glace, en ce moment !

            - Oh, con !

            - T'as raison, la prochaine fois, il faudra monter pour les Cavaliers, ou la Toussaint !

            - Le fin du fin : C'est que, par dessus le marché, je pense qu'elle avait de faux nichons ?         

            - Fan dé pute ! Je comprends tout, maintenant : Elle a sûrement eu peur qu'ils se crèvent. Dans ce cas, il paraît que c'est très dangereux. Tu peux crever, avec !

             En plus de ça, je doute que cela soit reconnu, comme accident du travail, ou maladie professionnelle, par la sécu ?

              Je ne sais même pas, si, les péripapeticiennes, elles sont syndiquées ? J'ai même entendu dire, que c'est pas la joie, dans la profession !             

               Et puis, sans ses miches, elle serait dans le pétrin : C'est, quand même, son gagne-pain, après-tout !

             Et qui dit mieux !

             Si ça se trouve : Elle en avait peut-être gros sur le coeur, quand elle t'a repoussé ?

             Cela m'étonnerait, qu'elle en pince, pour moi ?

            - Pourtant, je voulais, la caresser, doucement. Tu le sais bien, toi, que je n'ai pas un pét, de méchanceté, ni un poil dans la main qui me sert de canne, lequel aurait pu, malencontreusement, la blesser ?

             Elle s'est piquée, toute seule !           

             En attendant, on aurait dit : La Silicon Walley !

            - Oh, la salope, au prix qu'elle te prend !

             Cependant, c'est peut-être pour ça, qu'elle t'a pris pour un Américain ? En fin de compte, au jour d'aujourd'ui, même avec les putes, ya que les prix, qui grimpent !

             Et dire, qu'elles prétendent se casser le cul, pour la Ré-publique !

             Sais-tu, ce que j'en pense, moi, de tout ça ?

             Et bien, je trouve, que de nos jours : La tendresse, l'amour, l'économique, comme le social, tout fout le camp !

            Sans parler de la pollution, au mépris du tout :  Con-sen-susse !...

            - Quoi qu'il en soit, tu sais, les femmes, maintenant, avec leur corps, elles font toutes sortes de conneries. Regarde, avec leur chirurgie estiquit, t'es de plus en plus volé, sur la marchandise !

           - C'est vrai, qu'elles sont culotées. T'en a de moins en moins pour ton pognon, alors que : Con-cu-pissant, tu craches, rubis sur l'ongle, argent comptant !

           - Et pour en rajouter, elles viennent te narguer, en tortillant de l'arrière train, à toute vapeur, avec le string minimum, et pour t'allumer : La clope au bec !

            C'est à se demander, si ce sont elles, qui fument le joint, ou si c'est pas, leur joint à elles, qui fume ?

           - Au bout du compte, j'aurais mieux fait, d'acheter : Une poupée gonflable.

           - Ne fais jamais ça, malheureux, l'autre jour, un ami en a pris une. Il a voulu lui modre le cul ; Elle est partie par la fenêtre, en sifflant !

           - Au fait, t'es au courant, paraît-il, que, pour les femmes, il font maintenant des poupons gonglés, articulés, avec des piles électriques : Increvables ?

           - Non, mais je vais me renseigner, je pourrais peut-être, en offrir un, à ma très pauvre, ou très chère épouse, (Je ne sais plus, que penser, depuis qu'on partage notre vie, elle a triplé mes dépenses !)

            Tè ! pour la fête des mères, si son prix n'est pas : Exorbitant !

             Il pourra lui faire sa fête, à la demande !

             - Par contre, j'ai entendu dire, que la marque : "Petit bâteau," avait sorti le slip Kangourou. T'as plus besoin, d'avoir un grand mât, et, que tu quilles ou pas, à voile ou à vapeur, à tous les coups, c'est dans la poche !

LA CONCHYLICULTURE :

            Une grande question agitait le landernau politique du Bassin de Thau. Vaste débât sur le sujet : 

            - Dis-moi, Yves, toi, si savant, comment faut-il prononcer le mot :                                              CONCHYLICULTURE,

                                       Conchiliculture ou conkiliculture ?...

             Jojo, dit : "Le pouffre," conseiller municipal et, pêcheur du fond de MEZE, de la rue du barreau, prit la parole, et le verbe haut, comme si nous avions les Portuguaise ensablées, répondit :

             - Chez nous, les cons chient la culture. Il faut donc prononcer :

                                          LA CON-CHY-LI-CUL-TU-RE !

              Monsieur Louis HIGOUNET, Maire de BOUZIGUES, (Maire d'alors, de la cité berceau, de l'ostréiculture), le reprit, pour déclarer, plus élégammment :

               - Nous autres, à BOUZIGUES, nous fûmes les premiers, à avoir conquis, cette culture. J'opterais donc, pour :

                                          LA CON-QUY-LI-CUL-TU-RE !

                (C'est pas un coup de Bouzigaud, ça ?)

 

                 Le mot de la fin, revint à Christian TURREL, Maire du port de LOUPIAN.

                 Sans la moindre coquille, dans ses impressions, et avec un cran, de MARSEILLAN, il déclama :

 

                  - "Dans le fond, qu'il s'agisse de l'huîte, avec l'ostréiculture ou de la moule et la mytiliculture, tout cela touche, au : Cul-tu-rel !"   

LA GUERRE DES GENERATIONS :

            Je présente ma toute dernière chanson, à ma famille, en chantant, avec ma guitare. Les voyant sceptiques, je leur dis :

            - Je crois que la prochaine fois, je ferai du rap !

            Julie, ma fille, musicienne, me répond :

            - Arrête, papa, tu risques, d'avoir l'effet dérapeur !

            Je rebondis, en disant :

            - Aquo rai ! Hé bien, je ferai du Raï !

            Mon fils, tambour des joutes à ses heures, rétorque d'un ton sévère :

            - Arrête, papa, tu vas avoir l'effet dérailleur !

            En désespoir de cause, je réponds :

            - Tant pis, alors, je ferai de la soul !

            Et maman, de s'exclamer :

            - Gérard, tu nous saoules, avec ta musique !

            - Allez zou, je ferai un zouc !

            Mimi, ma femme, intervient, en claquant violemment la porte :

            - N'en avez-vous pas mare, de mettre le souk, dans cette maison !...

LE HAUTBOIS CHAMPETRE :

       Le hautbois Languedocien, est un istrument de musique, à anches double, qui se joue :                                             

                                    - Anche mise !

       En chemise, plutôt, blanche, pour les joutes nautiques.

       Et, pour tout dire : Le blanc de Sète, de préférence.

       - "Plus blanc, que blanc," comme disait Coluche.

       Aussi vierge, que le sucre : Saint Louis, véritable étalon de référence mondiale, en la matière !...

       - Tant pis, pour les Mézois, et le reste du monde !

        Aux dernières nouvelles,paraît-il, qu'un grand champion, défendant les couleurs Sétoises des "sous-titrés" (A cause, d'un des leurs, à l'émission télévisée ; Kho Lanta), voulait, évangéliser les joutes ?...

        Vous imaginez, ses adversaires, en vierges immaculées, voire effarouchées !

         Ah, ces Sétois, s'ils n'existaient pas, il faudrait les inventer !

         Tenez, il parait même, qu'en la personne de superman : Lulu BERENGER, les Sétois détiennent, le reccord du monde, de course, à reculons, et, qui dit mieux, celui de saut à slip ! (Méfi, aux cocus de tout bord, car c'est rapide, mais ça peut être aussi, viscieux, car difficile, à prendre, en flagrant déli !)...

         - Un de ces jours, je vais tenter le reccord du monde, de saut, en largeur !

         Le hautbois Languedocien, donc, est un instrument à vent, très exigeant, difficile à dompter, tant du point de vue : Du souffle, (Tu le vois, comme, tu l'entends), que : Des lèvres ; Et qui mérite, un entraînement régulier, pour les animations, au long cours.

         Un, des morceaux des joutes, les plus exigeants, se trouve être : "La descente de la bourse" où en fait, c'est la montée qui est dure !

         Son niveau sonnore, est tellement important, qu'on associe ses musiciens, à des "sonneurs," comme pour les joueurs de bignou, chez les Bretons.

         En terme de bignous, à la différence, de la bombarde et du hautbois, la cornemuse, est moins fatigante, car, il suffit de souffler, de temps à autre, pour remplir, et se donner de l'air, et, comme on dit,

                              - C'est : Dans la poche !

          Elle est, par ailleurs, beaucoup moins dangereuse, en musique déambulatoire, grâce, essentiellement :

                               - A son airbag, incorporé !

          Pour le cas où, un chauffard , viendrait vous cueillir, ou vous prendre, en pleine poire, quand vous défilez, dans les rues, pour le Festival du muscat, à Frrontignan, par exemple, où bien, en quelque autre Foire Languedocienne, ou procession bachique ou religieuse.  

          Si, d'aventure, vous croisez un groupe de musique traditionnelle déambulatoire, et que par mégarde, vous entendez quelques "canards," ne tirez pas, sur l'hautboïste.

                         Ne le canardez pas, ne le bombardez pas !

                                 Inutile, de lui sonner les cloches,

- Ce n'est pas le fruit du hasard, si ce hautbois traditionnel, s'appelle communèment :

                                    "HAUTBOIS CHAMPETRE !"   

   (Pour une musique, au ras des pâquerettes, de la France profonde, en opoosition, au hautbois classique, nommé aussi : d'Amour, ou d'harmonie).            

LE LAGUNAGE

            Je faisais l'apéro, dans un bar, bourré de monde, pour fêter la Cavalcade, quand un "étranger," engage la conversation.

            Il avait l'air sympa, et B.C - B.G.

            Je lui dis, tout bonnement : T'es pas de MEZE, toi !

            Et lui demande, ce qu'il fait ici ?

            Il me répond :

            - "J'habite Mèze, je paye mes impôts, à Mèze, où je suis Ingénieur-chercheur, à la statuon de lagunage, depuis plus de deux ans.

            J'étais plein comme une huître, (Pas une huître Espagnole = "De Thau laide)", et pour rigoler, je luis dis :

            Finalement, t'es venu ici, pour chercher la merde !

            Le mec interloqué, me regarde, et pour le rassurer, je me reprends:

            - "Et non, je déconne !"

            Sais-tu, pourquoi je te dis cela ? 

            - Il paraît, que : "Des chercheurs qui cherchent, on en trouve ;

Alors que des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"

            J'ai du filer, pour faire le boeuf, avec le Chevalet, avant de rentrer chez moi, avec, forcément : "La gueule de bois !"

LA TRILOGIE de Marcel PAGNOL

                  En cours de Français, en 6ème, dans une école, à Saint-Denis, la Maîtresse, demande à ses élèves, s'ils connaissent la trilogie, de Marcel Pagnol.

                  Une bonne élève, se lève de sa chaise, immédiatement et dit :

                  - "La gloire de mon père."

                  - "C'est très bien !" répond la Maîtresse.

                  Un second élève lève le doigt :

                  - "Le Château de ma mère."

                  - "Bravo ! lui dit la Maîtresse, quand survient, une 3ème réponse :

                  - "La main de ma soeur !"...

 

L'ESPRIT DU VIN (O-20-100-O)

              Esprit, es-tu là ?...

              - J'ai beau, faire des milles et des cents, il y a longtemps, que je t'appelle, en vain, et je te le donne en mille :

              Je me fais du mauvais sang !

              - Tu dois m'appeller Saint, mais pour le moment, toute tentative de m'avoir, risque de tomber à l'eau, car :

              - C'est la Saint Vincent, fête des vignerons !

 

UNE CONVERSATION ROULEE DANS LA FARINE :

           Je rencontre, aux joutes, sur le port, mon ami Francis ROLOUIS, artisan, vendeur et réparateur de pneus, à MEZE. Il fait une chaleur caniculaire, tandis qu'en bas des tribunes, une formation musicale, interprète : "Etoile des neiges !"... Nous voilà partis, tambour battant !

 

          - Ca va, Gérard ?

          - Tu sais, l'été, pour moi, ça marche à plain régime, et toi, ça va, Francis ?

          - Ca roule !

          - T'es pas rond, au moins ?

          - Non, je suis crevé !

          - J'ai l'impression que t'as mis du pneu ?

          - Tu ne manques pas d'air, toi, tu t'es vu !

          - Et non, je te chambre !

          - C'est ton fils, au tambour, il touche sa bille ?

          - Oui, pour les roulements, surtout ! Moi, je te trouve, à plat ?

          - Tout à fait, hier, j'ai eu un sacré coup de pompe !

          - Aussi, tu joutes encore, à ton âge, t'es gonflé !

          - Je m'éclate !

          - Contre qui, tu tombes ?

          - Michelin, mais je dois avant, me débarrasser d'un Llop !

          - Méfie-toi, il tient la route, celui-là !

          C'est un gente-le-Mans ! 

          En tous cas, je te conseille de ne pas trop mettre la gomme, sinon, tu risques, avec le blanc, de laisser des traces de dérapage !

          - Je vais tâcher, de le prendre à la corde !

          - Fais attention, si tu le manque, tu risques de faire un tonneau, ou de finir en acquaplanning !

          - Je demanderai au barreur, de me rentrer.

          - T'as pas peur de faire le Caramantran ?

          - T'as raison, surtout, qu'avec cette chaleur, je me sens sous pression, et, je te jure, je risque de déjanter !

          - Allons-y va, il vaut mieux débarrasser le plancher, le tournoi va commencer, et puis, on est sous la grue, là. On ne sait jamais, on pourrait s'engruner !

UNE HISTOIRE A MOURIR DEBOUT :

 

         Souffrrant d'une sciatique, je vais chez le Docteur. Lorsque je lui explique, que j'ai des problèmes de dos. Il me répond :

        - "C'est tout à fait normal, vous êtes musicien ! Où avez-vous mal ?

        - "La !"

        - "Il vous faut passer à la radio !"

        - "A la radio ! Cela fait des années, que j'espère passer à la Radio, bonne maison !"...

        Je passe la radio, et je me  vois, à la télé, à poil, allongé sur une table.

        Je dis, alors au radiologue :

        - "Méfiez-vous, si je siffle, vous devez payer les Droits d'auteur."

        -"Des Droits d'auteur ?"

        - Effectivement, car je suis à la Sacem !

        - Franco, à la Sacem, je crois que j'ai déjà entendu ça, quelque part ?"

        Le lendemain, un ami me confie :

        - "Tu devrais faire des C.D."

        - DCD, jamais de la vie ! les gens diraient :

        - "Franco est mort, Vive Franco !"

UNE MAUVAISE GRIPPE :

           - Salut, Robert !

           - Salut, Gérard, qu'est-ce qui t'arrive ?

           - Ne m'en parle pas, je crois, que j'ai attrppé, une grippe vaginale ?

           - Oh, con !

           - T'as raison !

           - Et, comment t'a choppé ça ?

           - Avec une copine.

           - L'enculée !

           - T'as raison !

           - Et ta femme, qu'est ce qu'ell dit ?

           - Elle n'est pas au courant.

           - Oh putain !

           - Déconne-pas, merde, elle n'y est pour rien !

           - T'as raison !

           - Ce doit être la grippe de Hon-kong ?

           - Pourquoi ca ?

           - J'ai de Chinois qui pleure tout le temps !

           - Et si c'était, la grippe Espagnole : La grippe à bière, quoi ?

           - En tous cas, salut. Je fonce, au bout, langer, parceque j'ai le noeud coulant, et les bonbons collent au papier !  

VIVE LES GROS !

Avant-propos :

            Hélas, quand je parle, j'y vais franco, et mets souvent les pieds dans le plat, et quand j'écris, il paraît que je fais cela :

            - "Dans les règles du lard !"

            Je me souviens, qu'à ma naissance, il n'y avait pas la pillule. Ma pauvre mère, en me mettrant au monde, pensa qu'elle avait fait :

                                      - Une grosse bêtise !

 

            Une amie, m'a dit, l'autre jour, en parlant d'un régime alimentaire :

           - "J'en ai marre, quoi que je porte, je suis toujours : Ton surr thon !"

            Je lui ai répondu :

            - "Le régime, c'est une histoire sans fin,"

             Et, pour la remettre en confiance :

            - "Moi aussi, j'ai tout, d'un thon modèle, mais ce n'est pas de ma faute : Chassé mon naturel, il revient au galop ; Et comme je suis à cheval sur les principes :

            Je mange vite, je me tiens bien et reste longtemps, à table ; J'aime tout, un rien m'est profitable !

             A ma décharge, si je puis dire, avec podération :

             - "J'ai grandi et me suis développé, dans un métier de bouche, et chez nous, à la pâtisserie Franco, on a toujours eu, de la brioche, à volonté !"

            Papa, a toujours fait son beurre, sur la gourmandise des Mézois.

            Par dessus le marché, quand je me rends chez l'épicier, j'espère toujours qu'il me fera bon poids, et : Le prix de gros !

            Ecoutez-bien :

            - J'aime, tellement, me taper la cloche, que ça ne me ferait pas peur, de manger : Un boeuf de Pacques !

            En plus de ça, le Docteur m'a dit récemment, de mettre de l'eau dans mon vin, mais je ne comprends pas :

            "Le vin me met l'eau, à la bouche, et friand d'A.O.C, je trouve cela louche !" (Extrait, de : "L'Esprit du vin.)"

             Il faut reconnaître que, comme il est dit, dans une autre chanson,  Italienne : "Le vin ne trahi pas, le vin est sincère," C'est pourquoi  : "Je lève mon coude, avec : Les coudées franches !"

             Et pour finir, nous terminons toujours un repas, entre amis, après avoir bien bu et bien mangé : A boire encore, et chanter, en canon, fidèles à cet art de vivre Gaulois, grâce auquel, la gastronomie Française a été classée : au Patrimoine immatériel, mais mondial, de l'Humanité, par l'UNESCO !

            Et puis, finalement, en y regardant ça, de plus près :

                            - "Je ne suis pas gros, je suis : Epanoui,"

            - Cela, depuis qu'une fille m'a dit, que je valais : Mon pesant d'or !

            Et, pour l'anecdote, je suis, d'après l'astrologie Chinoise, du signe du ;                                                         Cochon, 

                                Or, tout est bon, dans le cochon ! 

                                                  Moralité : 

                                      - Préfère et honore toujours :

             La bouteille, à moitié pleine, plutôt que la Bouteille, à  moitié vide !

(Sinon : Je te plains, et pour toi, j'en ai tellement gros sur le coeur, que de  chez moi, il faut que je te vide".

N.B.

            - Finalement, la vie est bien faite. Si, en vieillissant, la plupart du temps, on grossit, ça tombe bien ; Car, on a la vue, qui baisse !

 

               - Extrait, (3ème et dernier couplet), de ma chanson, conte la malbouffe, et dans l'esprit : Slowfood : "Le Petit pâté de Pézenas :"

                                (Chanson à boire, et à manger)

 

                          "Fort, d'être Français je me mets à table

                          Festif, convivial tant j'en suis ravi

                          Les plats mitonnés e rendent affable

                          Heureux comme un pape adorant la vie.

                          J'apprécie en mets des plus délectables

                          Le bon Roquefort le poulet fermier  (De José Bové !)

                          C'est tout mon pays auprès d'une étable

                          Le chant du coq sur un tas de fumier !" 

 

                          Gérard FRANCO, le 26 avril 1999.

                          FRANCO, PLEIN POT !

                                   (Chanson)

 

                           J'ai constaté dans les toilettes

                           Que j'avais l'âme d'un poète,

                           Tant pis, si mon langage est vert

                           Ou s'il n'est pas piqué des vers ;

                           Je me trouvais à découvert

                           Quand tout surpis je fis des vers !

 

                           Le bon Coluche aurait conclu

                           " Poète-pas, plus hant qu'ton cul !" 

                           Mais, sachez, vous le valez bien

                           Je suis poète et musicien,

                           Et qui dit mieux je le confesse

                           Chanteur jusqu'à la peau des fesses !

 

                           L'autre jour, tellement à l'aise

                           J'ai fait péter " La Marseillaise,"

                           N'importe où, qui que vous soyez

                           Je pourrais vous accompagner,

                           Sans fioriture, assutément

                           A la feuille sans instrument !

 

                            Que n'ai-je écrit sans prétention

                            Avec trois P une chanson

                            Pour vanter à vista de nàs

                            Le P'tit Pâté de Pézenas

                            Pour vanter à vista de nàs

                            Lou Pastissou Pét dins lou nàs !

 

                            Sans effort, si je vous le dis

                            J'ai poussé, cette mélodie

                            Franco de port, avec toupet

                            - C'est bien plus, qu'une mélopée !

                            Franco, plein pot sans déraper

                            Pour en faire un slow canapé !

 

                            Si vous n'êtes pas au courant,

                            Je dois me sauver en courant

                            Pour composer en un couvent

                            Un concert pour piano et vents. (Bis)

 

                            S'emmerder pour une chanson ?

                            Ma morale est sans concession :

                            Ecrire ou chanter comme on pisse

                            Ca, ça fait marcher le showbiz ! (Bis)

 

                            Gérard FRANCO, le 20.10.2006

 

                            (Texte, terminé le 29 octobre 2006, Jour du 25ème  Anniversaire de la mort de Georges BRASSENS, et de l'inauguration d'une place, à PARIS (XIVème), au nom de COLUCHE).

HUMOUR FRANCO-OCCITAN :

          On dit à MEZE :

 

           - Il faut manger des moules, parce que ça donne, du muscle !

 

(Explication : La moule, s'écrit : "muscle en Occitan et se prononce : "meuscle," au bord de l'étang de Thau).

 

            Et moi, de répondre :

 

            - "Oc, mas : "Cal amar !"

 

(Traduction : "Oui, mais il faut aimer !")

 

            Moralité :

 

            - "La pêche donne les moules et les moules, donnent la pêche !"